PMU : qu’est-ce que c’est ?
Vieux de 1930, la formule du pari mutuel est très simple et ressemble au Loto Foot. Il s’agit de faire jouer les parieurs entre eux et les sommes récoltées sont réparties entre les gagnants. Les parieurs peuvent jouer sur plusieurs types de courses (trot, plat ou à obstacles). Tiercé, Quinté+, e-Quinté+, Quarté+, Simple Jackpot ou SpOt, il existe ainsi 22 jeux différents au PMU.
La mise minimum au tiercé du PMU est de 1 euro, ce qui signifie que cette pratique n’est pas réservé qu’aux plus riches
Faire un bon pronostic pmu prend du temps
L’idée de pouvoir réaliser un pronostic gagnant en seulement 5 minutes après la consultation d’une presse spécialisée est une chimère.
Même en disposant d’une bonne base, le turfiste ne peut s’affranchir d’une lecture attentive de tous les paramètres qui entrent en compte dans une course pmu. Aucun pronostiqueur, même professionnel, ne peut se targuer d’avoir un pronostic sûr à 100 %.
Ceux qui se prêtent à l’exercice quotidien qu’est la création d’un pronostic pmu savent que ça n’est pas une tâche facile, pourtant avec une méthodologie bien rodée, issue d’une solide expérience et une bonne compréhension de l’univers du turf, il est tout à fait possible de gagner régulièrement aux courses avec un bon pronostic pmu, mais il ne faut pas négliger les étapes indispensables que sont l’analyse des conditions de course, l’étude de la liste des partants et des différents types de courses.
Prendre en compte les conditions de courses pour faire le pronostic
Toutes les courses sont différentes, mais pas seulement en raison des différentes combinaisons de partants (cheval, jockey, entraîneur), surtout en raison des conditions de course. On ne construit pas un pronostic pmu pour une course de trot comme on construit un pronostic pour une course de plat. Cela peut paraître évident, pourtant chaque turfiste devrait faire l’effort d’étudier sa façon de faire son pronostic, il se rendra compte que dans la majorité des cas, il utilise le même raisonnement pour construire son pronostic quelque soit la discipline, ce qui soulève déjà un gros problème de méthodologie. Si l’on ajoute à cela les différences notables qu’apportent les autres conditions de courses spécifiques (météo, type de piste, hippodromes, type de course, distance, etc.), on comprend qu’il ne peut pas y avoir de modèle unique pour la création d’un pronostic pmu performant, et que le mode de création est étroitement lié à la physionomie de la course en elle-même. L’analyse des conditions de courses est donc une des étapes fondamentales de la construction d’un bon pronostic pmu.
Nos conseils pour faire un bon pronostic hippique
I – Renseignez-vous sur la course
En course hippique, on y distingue principalement deux types de disciplines : Les courses pour trot et les courses à galop. Ces catégories sont ensuite divisées en plusieurs sous-disciplines. Il est donc important d’identifier le genre de la course et d’y connaître les règles.
Les parieurs peuvent jouer sur plusieurs types de courses (trot, plat ou à obstacles). Tiercé, Quinté+, e-Quinté+, Quarté+, Simple Jackpot ou SpOt, il existe ainsi 22 jeux différents au PMU.
II – Tenez compte de la distance
Lors d’une course, la distance est un critère déterminant sur le résultat final.
Les chevaux sont uniques et n’offrent pas les mêmes performances pour une course courte distance ou longue distance, certains sont plus endurants, d’autres plus vifs, c’est la distinction à faire entre les chevaux de tenue qui sont plus à l’aise sur le sport hippique de fond, et les chevaux de vitesse qui fournissent plus de performance pour les courses courtes distances.
Basez-vous sur les conditions de qualification pour déterminer l’état de forme d’un cheval, elles sont sources d’informations.
III – Observez le nombre de participants
Plus le nombre de partants est élevé, plus vos chances de faire une bonne combinaison diminuent, il est donc souvent préférable de jouer une probabilité petite ou moyenne sur un duo que de faire un quinté extrêmement difficile à passer.
Prenez le temps de connaître vos probabilités d’avoir une combinaison gagnante en vous basant sur le nombre de participants.
IV – Surveillez le type de départ
De même que la distance mentionnée plus haut, le type de départ joue aussi un rôle important dans la qualification des chevaux.
L’Autostart, par exemple, classe les chevaux selon les gains. Les plus expérimentés sont sur la première ligne et les autres sur la seconde, puis, un tirage au sort a lieu pour déterminer la place occupée par chaque cheval.
V – Evaluer les conditions de courses
Toutes les courses sont différentes, mais pas seulement en raison des différentes combinaisons de partants (cheval, jockey, entraîneur), surtout en raison des conditions de course. On ne construit pas un pronostic pmu pour une course de trot comme on construit un pronostic pour une course de plat. Cela peut paraître évident, pourtant chaque turfiste devrait faire l’effort d’étudier sa façon de faire son pronostic, il se rendra compte que dans la majorité des cas, il utilise le même raisonnement pour construire son pronostic quelque soit la discipline, ce qui soulève déjà un gros problème de méthodologie. Si l’on ajoute à cela les différences notables qu’apportent les autres conditions de courses spécifiques (météo, type de piste, hippodromes, type de course, distance, etc.), on comprend qu’il ne peut pas y avoir de modèle unique pour la création d’un pronostic pmu performant, et que le mode de création est étroitement lié à la physionomie de la course en elle-même. L’analyse des conditions de courses est donc une des étapes fondamentales de la construction d’un bon pronostic pmu.
Miser sur le cheval outsider
Comme au football, plus un cheval est choisi par les parieurs et plus il sera considéré comme favori. Et moins sa côte – et donc le gain possible – sera intéressant pour le parieur. Faire un pari sur le favori est idéal quand on débute mais malgré tout limité. Il faut donc établir un ordre ou une base avec des chevaux outsiders de la course.
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